La deuxième édition du festival international de danse »Bosangani » a débuté depuis le samedi dernier, au centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa.
« Mettre en valeur les femmes sur la scène congolaise », telle est la thématique qui accompagne ce grand rendez-vous incontournable de la danse.
Devant les professionnels des médias, Jolie La Panthère, danseuse, chorégraphe et initiatrice de ce projet, ce festival met en place des outils de transmission à travers des rencontres et des événements autour du métier de l’art et de la scène.
Du reste, dans son aspect particulier, il tâche de garantir le taux élevé de la participation féminine. « bosangani » qui se traduit littéralement en Français par « rassemblement » est un projet qui se veut de créer un cadre de rencontre purement artistique. Il vise à donner de l’espoir, de la confiance en soi, de l’échange et du partage et de l’autonomie aux participants.
A l’affiche, la programmation variante de l’événement s’articule sur la Masterclass, concerts, spectacles ainsi que des performances extérieures à la rencontre d’un nouveau public.
Participant à ce festival, les membres du groupe »Mybalés » danse conçoivent ce projet comme étant un canal par excellence de transmission d’expérience. Elles trouvent aussi, en ce festival, un monde de découverte et d’apprentissage.
C’est avec faste que »Bosangani » a ouvert ses portes. En effet, le public présent lors de la première journée a déjà savouré un spectacle de danse ainsi que de la musique.
Notons que ces activités s’étendent jusqu’au 3 septembre prochain. Elles se déroulent à cheval entre le centre Wallonie-Bruxelles, Espace Ntongo Elamu, INA, terrain Adi (Bandal) et au bord du fleuve Congo (Kinsuka).
Laetitia kabala