Ce 20 Mars 2024, la plateforme Word’s Artists organisation and humanitarian ( ndlr, la plateforme des artistes humanitaires) a rendu visite aux déplacés de guerre du camp Bassin du Congo (Au nord de la ville de Goma, en RD-Congo) à l’occasion de ses 7 années d’existence.
En effet, le camp Bassin du Congo héberge les hommes et les femmes, notamment les enfants et les personnes de 3ème âge qui ont fui leurs localités pour la guerre et la terreur dont ils sont victimes depuis un laps de temps.
Cette structure a manifesté sa bonne volonté et son indéfectible soutien à ces personnes grâce aux contributions de ses membres et de bienfaiteurs de la ville de Goma par le peu de moyens dont ils disposent.
Depuis sa création le 20 Mars 2017, la WAOH-DRC n’a cessé d’améliorer les conditions de vie sociales, économiques et artistiques de la population à travers ses actions humanitaires.
Et cet acte marque la solidarité que la WAOH-DRC a manifestée à ces personnes, victimes d’une guerre injuste dont certaines communautés et autres fondations taisent les faits et observent au lieu d’agir en venant en aide à ces personnes désespérées et dépossédées de leurs résidences et de leurs acquis.
Cette occasion a permis à la WAOH-DRC de présenter la situation humanitaire que traverse ces déplacés de guerre dans le camp Bassin du Congo et elle en a profité pour faire rappel au gouvernement central, à l’ONU et à l’Union Européenne de pouvoir se préoccuper de la situation sécuritaire de ces déplacés qui vivent dans des conditions difficiles afin qu’ils retrouvent leur vie normale comme tout citoyen congolais.
Enock NSADI, coordonnateur exécutif de la structure, n’a pas manqué de remercier tous les donateurs qui ont contribué à la réussite de cette activité, à toutes les organisations qui les ont soutenus et à tous les membres pour leur esprit d’équipe.
La WAOH-DRC reste ouverte pour toute collaboration et aide de tout genre, et surtout toutes les personnes désirées d’accompagner et de soutenir ces personnes, ces déplacés, victimes d’une guerre injuste.
Grady BIZAKI