Les archéologues et les historiens de l’art ont du mal à se faire à l’idée que les magnifiques antiquités en marbre comme les statues grecques, n’étaient pas blanches à l’origine.
A vrai dire, elles étaient de couleurs vives.
Certes, on connaissait des références historiques à des statues peintes et on avait trouvé des traces des couleurs sur des sculptures, mais les chercheurs n’avaient pas tellement exploré le sujet.
Dernièrement, toute fois des preuves indirectes que les statues étaient polychromés, sont apparues grâce à des examens, de surface réalisés au moyen de techniques récentes.
Les pigments de peinture se décomposent à des vitesses différentes exposant ainsi aux éléments certaines parties de la surface de la statue avant d’autres.
Les variations de relief à la surface du matériaux forment des zones qui indiquent que la statue a été peinte de diverses couleurs.
Dans l’esprit des Grecs et des Romains, l’art de la sculpture n’a atteint son apogée qu’avec l’ajout de couleur.
Par contre nos ancêtres Africains plus particulièrement de l’Afrique Central utiliser aussi des couleurs, certes, pas fait comme les grecs ou des romains mais fait juste en frottant les herbes, des racines sur la surface de la statue, soit encore en le mélangeant avec de l’eau.
Par mystère, nos ancêtres connaissaient bien les herbes à faire la peinture.