Alexis Kant, auteur de plusieurs nouvelles et romans, ne cesse d’ancrer ses racines dans le cosmos littéraire à travers ses œuvres caractérisées par de fortes intrigues.
Abordant dans la plupart des cas des thématiques lyriques mêlées à une fonction militante ou didactique, cet écrivain captive ses lecteurs au fil du temps, ce qui fait que la demande de ses nouvelles créations est forte.
De nature audacieux, et résilient face aux défis de la vie, il vient d’annoncer depuis le 05 août 2022 par le canal des réseaux sociaux, la sortie imminente d’un nouvel ouvrage dont le vernissage est prévu en date du 1er Septembre à l’Institut Français de Goma. A l’issue de cette annonce, un engouement vif était perceptible; la preuve est que ce sont les multiples réactions de commentateurs à ladite annonce.
“La belle perdue”, tel est le titre de cet ouvrage à paraître. il s’agit, en effet, d’un récit d’un ex-prisonnier.
Interrogé par Culture Congo pour savoir si l’œuvre est autobiographique, l’auteur révèle que Ce livre est un cri d’alarme. Il suffit de le scruter pour le constater.
Puis il renchérit en faisant savoir que l’ouvrage met à nu les macabres situations dans lesquelles sont détenus des milliers de victime de l’injustice. Selon lui, certains utilisent leur voix, des armes, de la force ; mais il préfère canaliser son écriture dans une approche de plaidoirie en faveur de nombreuses personnes assujetties à des conditions carcérales inhumaines.
Ce quatrième ouvrage de l’auteur dénonce les abus de la Justice surtout lorsque ” certaines “‘ autorités y trouvent un moyen d’abuser de leur pouvoir.
Par manque d’une justice équitable, certains passent presque leur vie en subissant des traumatismes.
Il sied de noter que cet ouvrage est édité par Kivu Nyota, une maison d’édition basée à Goma/Nord-Kivu.
Cœur Tam-Tam Kabuyaya