Bien après la réussite de sa 6e édition, La première scène de Reggae en RDC, “Mukongomami Reggae Festival”, revient sous le vent de sa 7e édition du 03 au 04 novembre 202, avec un message particulier axé sur l’amour et l’unité des artistes congolais, plus spécifiquement les reggae men, pour la relève de l’emblème de ce style musical.
Lors d’une conférence de presse organisée à l’Institut Français de Kinshasa (Halle de la Gombe), l’artiste Kassim Lafraz, directeur du festival, a illustré la place incontournable qu’occupe le reggae dans le monde, partant du message qu’il apporte à l’unification de la société. Selon lui, le reggae n’a pas des frontières. “Cette 7e édition se veut aussi le soutien à l’armée congolaise en cette période combien agitée”, a-t-il fait savoir.
Prenant part à cette activité du lancement du festival, l’artiste français Samuel Samuka a spécifié que “Le reggae partout ailleurs est bien plus vivant qu’en RD-Congo, d’où la determination de rappeler sa place irréprochable est la raison majeure de notre unité en qualité d’artistes que nous sommes”
Cette scène d’envergure reggae connaîtra la participation d’une panoplie d’artistes tels que Cize Nkosi, Royal Keep, Jahman et bien plus d’autres à découvrir.
Le coup d’envoi sera donné ce jeudi 3 novembre avec un Live Reggae Music Jam chez le Baron (Gombe). Il s’en suivra un live reggae part 1, vendredi 04 novembre à l’Institut Français de Kinshasa, Halle de la gombe. Tout va se clôturer ce samedi 5 novembre, toujours à la grande halle de l’IFK, avec le live Reggae part 2.
Rappelons que Mukongomami Reggae est un festival purement congolais qui se veut de raviver la flamme de « Reggae » en RDC. Il met en lumière, chaque année, toutes les têtes pensantes de ce style musical et des talents montants, autour d’une grande scène.
L’’appel est donc lancé à tous les amoureux du Reggae et à ceux-là qui n’ont rien prévu dans leur agenda, de venir nombreux assister à ce grand événement d’obédience rastafari. Les portes seront grandement ouvertes pour les accueillir.
Laetitia Kabala