L’écrivain, Joseph Emmanuel Ikos Rukal Diyal, deuxième secrétaire exécutif adjoint et porte-parole du gouvernement provincial du Lualaba, vient de publier un ouvrage de 192 pages, intitulé : «Identité katangaise, un des fondements de l’âme congolaise (de l’édification collective de la nation congolaise)».
Cet ouvrage imprimé à MEDIAS PAUL à Lubumbashi et édité par la presse universitaire de Kolwezi a été présenté officiellement au public le weekend au cours d’une soirée culturelle organisée à l’institut français de Lubumbashi en présence de la ministre provinciale de l’éducation du Haut Katanga, Stella Ilunga, du recteur de l’Université de Kolwezi, le pr. Kashala, des chercheurs, professeurs et étudiants. Cette œuvre littéraire de haute facture, qui traite d’un sujet sensible comporte cinq chapitres entre autres : «De la société congolaise», «De quelques perspectives de notre passé», «Des degrés de l’identité politique» etc…
Dans son analyse de l’ouvrage, le président de la Société des écrivains et critiques du grand Katanga, le pr. Jeannot Arthur Bakasanda, qui a salué et encouragé les exploits réalisés par l’auteur, a indiqué que le premier chapitre démontre que le Katanga connaissait déjà une industrie du cuivre florissante et que sa production avait déjà traversé des frontières jusqu’à atteindre l’Europe. «Nos empires et royaumes avaient des structures politiques solides avec des modes de vie et des projets de société accomplis». a-t-il poursuivi.
Le chapitre deux de l’ouvrage traite de la genèse de l’organisation de l’entreprise de conquête royale par Léopold II, à travers une trilogie stratégique du Roi des Belges portant sur : l’exploration, la civilisation et l’allégeance au roi. L’épisode de la conquête difficile du Katanga se termine par la mort de M’siri, abattu par le capitaine Bodson. Cette conquête faite par étape a connu des rébellions et des révoltes de soldats congolais suite aux mauvais traitements de la part des colons blancs.
Au sujet du démembrement des provinces en RDC, l’auteur rassure que le pays en a connu d’autres. Ce qui importe au-delà de toute réorganisation administrative, c’est la mise en compétition dans un esprit d’émulation des Katangais entre eux d’une part et entre les Katangais et toutes les autres provinces démembrées de la RDC d’autre part. L’auteur démontre que «l’ethnicité» doit laisser la place à la citoyenneté «supra-ethnique» et nationale, politique, appelée aussi la nouvelle de citoyenneté.
Témoignages sur «l’identité Katangaise»
Au cours de cette cérémonie plusieurs témoignages sur l’ouvrage «l’identité katangaise» un des fondements de l’âme congolaise (de l’édification collective de la nation congolaise) ont été présentés par plusieurs personnalités qui ont tous apprécié la qualité, le fond des écrits de Joseph Emmanuel Ikos. A cette occasion, l’auteur a donné l’importance du choix de la ville de Lubumbashi pour présenter son livre car, selon lui, Lubumbashi est le berceau qui l’a accueilli en premier en tant qu’écrivain. Il a remercié l’assistance venue pour le conforter et le réconforter avant de procéder à la vente de cet ouvrage.
Joseph Emmanuel Ikos Rukal Diyal est un polytechnicien de formation et de carrière. Il fut gestionnaire du personnel à la Gécamines de 1974 à 2004. Il est passionné de la lecture et des arts, acteur de théâtre au sein du groupe «Djoliba théâtre» de 1977 à 1982, rappelle-t-on.
, deuxième secrétaire exécutif adjoint et porte-parole du gouvernement provincial du Lualaba, vient de publier un ouvrage de 192 pages, intitulé : «Identité katangaise, un des fondements de l’âme congolaise (de l’édification collective de la nation congolaise)».
Cet ouvrage imprimé à MEDIAS PAUL à Lubumbashi et édité par la presse universitaire de Kolwezi a été présenté officiellement au public le weekend au cours d’une soirée culturelle organisée à l’institut français de Lubumbashi en présence de la ministre provinciale de l’éducation du Haut Katanga, Stella Ilunga, du recteur de l’Université de Kolwezi, le pr. Kashala, des chercheurs, professeurs et étudiants. Cette œuvre littéraire de haute facture, qui traite d’un sujet sensible comporte cinq chapitres entre autres : «De la société congolaise», «De quelques perspectives de notre passé», «Des degrés de l’identité politique» etc…
Dans son analyse de l’ouvrage, le président de la Société des écrivains et critiques du grand Katanga, le pr. Jeannot Arthur Bakasanda, qui a salué et encouragé les exploits réalisés par l’auteur, a indiqué que le premier chapitre démontre que le Katanga connaissait déjà une industrie du cuivre florissante et que sa production avait déjà traversé des frontières jusqu’à atteindre l’Europe. «Nos empires et royaumes avaient des structures politiques solides avec des modes de vie et des projets de société accomplis». a-t-il poursuivi.
Le chapitre deux de l’ouvrage traite de la genèse de l’organisation de l’entreprise de conquête royale par Léopold II, à travers une trilogie stratégique du Roi des Belges portant sur : l’exploration, la civilisation et l’allégeance au roi. L’épisode de la conquête difficile du Katanga se termine par la mort de M’siri, abattu par le capitaine Bodson. Cette conquête faite par étape a connu des rébellions et des révoltes de soldats congolais suite aux mauvais traitements de la part des colons blancs.
Au sujet du démembrement des provinces en RDC, l’auteur rassure que le pays en a connu d’autres. Ce qui importe au-delà de toute réorganisation administrative, c’est la mise en compétition dans un esprit d’émulation des Katangais entre eux d’une part et entre les Katangais et toutes les autres provinces démembrées de la RDC d’autre part. L’auteur démontre que «l’ethnicité» doit laisser la place à la citoyenneté «supra-ethnique» et nationale, politique, appelée aussi la nouvelle de citoyenneté.
Témoignages sur «l’identité Katangaise»
Au cours de cette cérémonie plusieurs témoignages sur l’ouvrage «l’identité katangaise» un des fondements de l’âme congolaise (de l’édification collective de la nation congolaise) ont été présentés par plusieurs personnalités qui ont tous apprécié la qualité, le fond des écrits de Joseph Emmanuel Ikos. A cette occasion, l’auteur a donné l’importance du choix de la ville de Lubumbashi pour présenter son livre car, selon lui, Lubumbashi est le berceau qui l’a accueilli en premier en tant qu’écrivain. Il a remercié l’assistance venue pour le conforter et le réconforter avant de procéder à la vente de cet ouvrage.
Joseph Emmanuel Ikos Rukal Diyal est un polytechnicien de formation et de carrière. Il fut gestionnaire du personnel à la Gécamines de 1974 à 2004. Il est passionné de la lecture et des arts, acteur de théâtre au sein du groupe «Djoliba théâtre» de 1977 à 1982, rappelle-t-on.
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