La littérature congolaise est sujette à être enrichie, d’une part par un haut débit de production d’œuvres littéraires, d’autre part, la qualité des oeuvres des auteurs congolais.
Le jeune Joshua Vautour fait partie de la nouvelle gamme d’écrivains qui voudraient réaffirmer cette thèse, notamment par sa ferveur envers l’écriture.
Pour avoir un aperçu global sur sa carrière, nous vous laissons découvrir l’essentiel de l’interview qu’il a accordée à votre média.
Culture Congo : Pouvez-vous vous présenter brièvement ?
Joshua Vautour : Je suis Joshua vautour, un jeune écrivain et entrepreneur.
CC : Depuis quand écrivez-vous? Quelle année peut-on considérer comme le déclic de votre carrière ?
JV : L’année 2019 marque mes débuts en tant qu’écrivain. Certes, depuis bien longtemps, je ressentais une vive envie d’écrire. Cette envie tenace me courtisait et a fini par persuader mon coeur car je ne peux plus me passer des activités littéraires. J’en suis tombé amoureux.
C’est ainsi que j’ai rédigé mon tout premier ouvrage intitulé “Time”qui a fait l’objet d’une publication dans la maison d’Editions Bleu Heron en France.
Quelques années plus tard j’ai commencé à glaner des prix entre autres, le prix Rasa Blanca et le Prix Immaculé.
CC : Pour vous, l’écriture est une passion ou une vocation ?
JV : Les deux. C’est d’abord une vocation puis une passion. C’est de cette vocation que ma passion pour l’écriture prend souffle.
CC : Pour quelles raisons écrivez-vous?
JV : J’écris pour communiquer les valeurs. Mes écrits sont une lumière qui vise à éclairer ce monde noirci par la dépravation de moeurs.
CC : Quelles sont vos perspectives d’avenir?
JV : J’ai à mon actif plusieurs oeuvres inédites. Je compte les publier progressivement. La toute première oeuvre inédite qui sera tirée du lot est dénommée “L’eau des fleurs”. Cet ouvrage sera publié cette année (2022) aux éditions DENY LE GRAND.
Je considère cette oeuvre comme un hymne qui devrait être promu par n’importe quelle civilisation, compte tenu du message qui y est transmis.
CC : Quel message pouvez-vous donner aux jeunes de votre génération qui ont peur d’amorcer une carrière d’écrivain?
JV : Qu’ils soient persévérants, mais aussi se lancer dans l’entrepreneuriat car quelque fois votre business peut permettre de booster la carrière d’écrivain.
Et, je formule mes vœux de remerciements à toute l’équipe de Culture Congo, pour le travail dévoué qu’elle rend avec abnégation pour la promotion de la culture congolaise sous toutes ses facettes.
Propos recueillis par Coeur Tam Tam Kabuyaya