Journée spéciale du 29 Fév. 2020, à sa gratification du décret de consécration par les instances internationale en matière de culture (UNESCO) de la journée internationale de la performance.
Cette cause a provoqué de la surchauffe auprès des jeunes artistes performeurs réunis en collectif sous la désignation du terme ‘’FARATA’’. Ceci désigne dans idiomes des langues locale, la motte de matière fécale et par extension les immondices ce qui n’est pas un objet d’utilité du fait de sa susceptibilité du désagrément.
Cependant, en tant que matière, le Farata peut constituer une ressource à diverses exploitations.
C’est cela l’idéal pour ces jeunes gens, artistes ressortissants des Beaux arts de KINSHASA et des milieux libres ; c’est sont:
- Flory_Sinanduku,
- Yas_Ilunga,
- Patou_Mbikayi,
- Junior_Nyembwe,
- Billy_Ngalamulume,
- Junior_Mongongu,
- Bobo_Lomboto,
- Gédeon_Liyolo,
- Paty_Masiapa,
- Azgard_Itambo,
- Jessy_Biselele,
- Jonathan_Belonga.
Pour ce faire, ils ont défini un thème percutant qui est « La performance art face aux enjeux climatiques ». Ce qui est indiqué par rapport à l’abattement des effets climatiques tels que le réchauffement qui s’observe, la dégradation des espaces bref la pollution à outrance.
Ce faisant, la commune de Selembao a été pointée pour cette première édition qui a connu des exhibitions faste avec un coup d’Eclat digne de captiver l’attention de tous.
C’est en somme une mise enjeux des scènes sur le phénomène de poubellisation, pénurie d’eau, sachetisation etc…
Farata attend les impressions de tous pour la promotion de ce nouveau medium de l’art de la performance à cet effet.
Texte : L’anthropologue Clémence
Photo : Azgard Itambo